Wednesday, January 20, 2010

Haiti

Père Acnys Derozin de Balan de Cap Haitian ècrive bien sauvé, la paroche et l'hospital est bien, le blog
front de action pour Haiti en blogspot est silencieux de Octobre 2009

Wednesday, June 03, 2009

Friday, May 15, 2009

UN


Libran Catactulan, der Botschafter der Philippinen bei den Vereinigten Emiraten wurde als Berichterstatter zur Überprüfung des Atomwaffensperrvertrages bestimmt.

Mutlangen


Die Wahlzettel zur Kommunalwahl am 7. Juni 2009 sind angekommen, zusammen mit der Karte zur Europawahl.

Kommunalwahl sind wichtig, es sind sechs Listen oder Parteien zugelassen die Unabhängige Wähler UWL , CDU, SPD, Grüne, FDP, Frauenliste genannt werden.


Dazu wird der Kreistag und das Europaparlament gewählt.

Madagascar


 









Madagascar :
Andry Rajoelina, candidat aux Présidentielles ?











La
confusion autour de la candidature d’Andry Rajoelina demeure.
Le président de la Haute autorité malgache (HAT) a
déclaré, mercredi, qu’il ne sera pas candidat à
la présidentielle si tous les anciens chefs d’Etat ne se
présentent pas non plus au scrutin. « Je veux
montrer au monde entier qu’Andry Rajoelina ne s’accroche
pas à un siège, qu’ (il) n’est pas assoiffé
de pouvoir et ne cherche pas les honneurs », a-t-il
précisé lors d’une conférence de presse.


La
France et l’ONU font pression sur Andry Rajoelina


Un
peu plus tôt le même jour, le Quai d’Orsay avait
exhorté le président de la HAT d’annoncer sa
décision de ne pas se présenter aux Présidentielles
« en vue de la finalisation rapide d’un accord
politique consensuel et le plus inclusif possible ». De
leur côté, les médiateurs des Nations Unies
cherchent à obtenir le consensus des partis dirigés par
d’anciens présidents : l’Arema de Didier
Ratsiraka, le CRN d’Albert Zafy et le Tim de Marc Ravalomanana.
Pour l’instant, a ajouté Andry Rajoelina, « cette
disposition ne fait pas l’unanimité ». Selon
Sobika,
un site d’information malgache, si cette proposition n’était
pas validée par les trois chefs d’Etat, le gouvernement
de la HAT devrait présenter certainement son candidat « afin
de valider son mandat actuel ». Monja Roindefo, l’actuel
Premier ministre s’imposerait comme le futur leader.


Le
retour de Marc Ravalomanana


Pour
sa part, Marc Ravalomanana a indiqué, mercredi, au micro de
RFI
qu’il rentrerait dans son pays « dans quelques
semaines peut-être ». Il a également rappelé
qu’il était « le seul président élu
à Madagascar démocratiquement ». Afin « de
permettre le retour pacifique du président évincé
et l’organisation », la Communauté de
développement d’Afrique australe (SADC) avait nommé,
lundi, un envoyé spécial dans le pays. Au regard des
positions adoptées par Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina,
un accord politique semble compromis, et l’organisation des
élections présidentielles prévues avant la fin
2009 on ne peut plus hypothétique.











Emmanuel Batamag












PROPOSITION D'ARTICLES



 











Gabon :
l’université Omar Bongo paralysée par une
nouvelle grève





Les
enseignants revendiquent de meilleures conditions de travail





Les
enseignants en grève réclament entre autres la
régularisation de leurs situations administratives et
financières, l’harmonisation de l’indemnité
de la spécialité, l’augmentation des budgets
de fonctionnement et d’investissement dans les
établissements universitaires, l’augmentation de la
prime de recherche, la subvention de la mutuelle des
enseignants-chercheurs et la création d’un statut
particulier des enseignants-chercheurs.


Ils
affirment que le gouvernement du premier ministre Jean Eyeghé
Ndong ne veut rien faire pour apporter des réponses
concrètes à leurs doléances déposées
le 17 décembre 2008 à la tutelle et disent avoir
durci le ton afin d’ appeler les ministères publics à
la négociation. Sur le plan pédagogique,
l’institution a déjà bouclé le premier
semestre, et les cours ont repris pour le compte du 2e semestre,
le 4 mai dernier.



Des
informations contradictoires


Selon
le vice-doyen, Gilbert Zué-Nguema, chargé de la
pédagogie, cette nouvelle grève, dont l’impact
immédiat ne saurait remettre en cause la validité de
l’année académique, ne concerne qu’une
partie du corps enseignant. ’’Le mot d’ordre de
grève lancé lundi concerne un seul syndicat et
l’université en compte deux. Je suis conscient des
difficultés que cela peut entraîner par l’effet
de groupe, mais nous pensons que la situation va se dénouer
bientôt’’, a-t-il affirmé.


Seulement,
aucun étudiant rencontré au campus mardi n’a
affirmé avoir fait cours. Tous disent avoir attendu
vainement leurs enseignants et comptent pour la plupart rester
chez eux, en attendant que le gouvernement et les syndiqués
renouent le dialogue.


L’université
Omar Bongo, créée dans les années 70, connait
de nombreux soubresauts en raison des mouvements d’humeur à
rebondissement des étudiants et des enseignants qui
revendiquent régulièrement pour les uns les
meilleures conditions d’études, pour les autres les
meilleures conditions de travail.





…………………………………………………………………………………………………..



 











Somalie :
Mogadiscio sous la menace des islamistes radicaux.
Des combats
violents ont fait une centaine de morts ces derniers jours









Il s’agirait
des combats les plus meurtriers qu’a connus Mogadiscio, la
capitale somalienne, depuis janvier. Le 7 mai, Al-Shabaab [qui
signifie les jeunes] et Hizb al-Islamiya (Parti de l’Islam),
deux groupes islamistes radicaux, ont déclenché une
violente guerre contre les forces pro-gouvernementales. Celle-ci
vise, selon toute vraisemblance, à s’emparer de la
capitale Mogadiscio et surtout du pouvoir. Dans une intervention
presse, l’envoyé spécial de l’Onu pour la
Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah, a qualifié, mercredi, ces
attaques de « tentatives de coup d’Etat ».
D’après lui, Cheik Hassan Dahir Aweys, l’un des
principaux leaders des islamistes radicaux, « est venu
pour prendre le pouvoir et renverser un régime légitime. »



Plus de 27
000 déplacé



Au total, plus d’une
centaine de personnes (combattants et civils) sont mortes depuis le
début des hostilités, selon le groupe Elman pour la
paix et les droits de l’homme. Un autre bilan officiel fait
état d’une quarantaine de tués. Dimanche, plus
d’une dizaine de civils ont péri sur le champ lorsqu’un
obus a explosé dans une mosquée de la capitale. Quelque
150 autres personnes ont été gravement blessées.
Et ce mardi, des combats qui, cette fois, auraient été
provoqués par les miliciens pro-gouvernementaux à
Mahas, une localité située à 300 km au nord de
Mogadiscio, ont fait au moins huit morts. « Des militants
islamistes loyaux au gouvernement ont attaqué les soldats
d’Al-Shabaab. Quatre civils et quatre combattants sont morts
dans les affrontements », a expliqué un chef
coutumier à l’AFP.



L’organisation
Elman pour la paix et les droits de l’homme signale également
que les violents combats qui opposent les mouvements restés
fidèles au gouvernement d’union nationale et les
insurgés ont contraint à l’exil au moins 27 000
civils. En quelques jours de conflit, les combattants d’Al-Shabaab
et Hizb al-Islamiya ont réussi à s’emparer de
plusieurs points stratégiques de la capitale tels que le
stade, l’ex-ministère de la défense, les
anciennes usines de cigarettes ou de spaghettis, indique Le Monde.
Le quotidien français du soir indique que les rebelles,
considérés comme le bras armé d’Al Qaïda
en Somalie, sont désormais à « portée
de tir de la présidence. » Ils contrôleraient
également les villes des environnantes, enserrant la capitale.
Les insurgés ont reconnu avoir reçu le soutien de
combattants étrangers. Les autorités somaliennes
soupçonnent l’Erythrée.



« Défendre
la souveraineté du pays »



« La
position du gouvernement somalien est de défendre la
souveraineté du pays et d’utiliser tous les moyens
possibles pour arrêter les combats », a indiqué,
lundi, Sheikh Sharif Sheikh Ahmed lors d’un point de presse à
Mogadiscio. Le président somalien, lui-même, islamiste
modéré, pourrait compter sur l’appui des soldats
de la Mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom), un peu
plus de 5 000 hommes, qui a, entre autres, pour mission de former
l’armée du gouvernement d’union nationale.



Les extrémistes,
qui réclament le départ de ces troupes, affichent
également une détermination sans faille. Cela fait
plusieurs mois qu’ils ont averti qu’ils n’arrêteront
pas le conflit tant que Sharif Sheikh Ahmed, qui a succédé,
fin janvier, à Abdullahi Yusuf Ahmed, ne quittera pas le
pouvoir.











Emmanuel
Batamag, Journaliste Indépendant, réside à
Yaoundé, la capitale de la République du Cameroun. Tél.
237-77.97.63.80 / 97.03.02.83



PROPOSITION D'ARTICLES PROPOSED ARTICLES



SON
EXCELLENCE MONSIEUR ANDRE MAMA FOUDA, MINISTRE CAMEROUNAIS DE LA
SANTE PUBLIQUE (MINSANTE) NOUS ECLAIRE SUR L’EPIDEMIE DE LA
GRIPPE PORCINE (A VIRUS A/H1N1)









C.A. :
Qu’est-ce que la grippe porcine ?





MINSANTE :
La grippe porcine est une maladie respiratoire aiguë hautement
contagieuse provoquée par un virus mélangé
(réassorti) provenant de trois souches, aviaire, humaine et
porcine : le virus A/H1N1. Il arrive que les porcs soient
infectés par plusieurs types de virus en même temps, ce
qui peut permettre aux gènes de ces virus de se combiner, et
d’engendrer un virus grippal contenant des gènes
provenant des diverses sources. Le virus se propage par aérosols,
par contact direct et indirect, ainsi que par des animaux porteurs
même asymptomatiques, pouvant provoquer la maladie chez
l’homme.





C.A.:
Quelles en sont les répercussions sur la santé
humaine ?





MINSANTE :
Le tableau clinique de l’infection par le virus de la grippe
porcine chez l’homme ressemble à ceux de la grippe
saisonnière et d’autres infections des voies
respiratoires supérieures. Les symptômes sont : la
toux, les éternuements, les écoulements, l’écoulement
nasal, la fièvre, les douleurs musculaires et la fatigue. Le
germe est plus virulent chez les personnes ayant un déficit
immunitaire (enfants, vieillards, malades graves, etc.).





C.A.:
Où se sont produits les cas enregistrés chez l’homme ?





MINSANTE :
Depuis le début de cette épidémie en avril 2009,
l’OMS a reçu des notifications de cas de grippe porcine
en provenance de plus de 20 pays d’Amérique, d’Europe,
d’Asie et d’Afrique.





C.A.:
Comment les gens contractent-ils l’infection ?





MINSANTE :
En général, les gens contractent la grippe porcine à
travers les contacts interhumains.





C.A.:
Peut-on manger de la viande de porc et des produits dérivés
du porc en toute sécurité ?





MINSANTE :
Oui. Il n’a pas été démontré que la
grippe porcine puisse être transmise à l’homme par
l’ingestion de viande de porc ou d’autres produits
dérivés du porc correctement manipulés et
préparés.





C.A.:
Qu’en est-il du risque de pandémie ?





MINSANTE :
Il est imminent, et l’OMS classe cette épidémie à
5 sur échelle de 6.





C.A.:
Existe-t-il un vaccin pour protéger l’homme contre la
grippe porcine ?





MINSANTE :
Non. Des recherches sont en cours pour la production d’un
vaccin contre le virus A/H1N1.





C.A.:
De quels médicaments dispose-t-on pour le traitement ?





MINSANTE :
L’Oseltamivir (Tamiflu) est l’un des antiviraux auquel le
virus est sensible. Il se présente sous forme de gélules
et de suspension buvable. Ce médicament, comme tout autre
n’est pas dénué d’effets indésirables.
La plupart des cas de grippe porcine précédemment
notifiés ont montré un rétablissement complet.
Ce médicament devra être pris dans un but curatif et sur
ordonnance médicale dans notre contexte.





C.A.:
Que dois-je faire si je suis en contact régulier avec des
porcs ?





MINSANTE :
Bien qu’il n’y ait pas de lien direct entre la maladie
chez l’homme et le contact avec les porcins, il est recommandé
de limiter le contact avec des animaux malades et de signaler ces cas
chez le personnel de santé vétérinaire et
d’appliquer les mesures d’hygiène rigoureuses.





C.A.:
Comment puis-je me protéger des personnes atteintes de la
grippe à A/H1N1 ?





MINSANTE :
En pratiquant les règles d’hygiène élémentaires :



  • Eviter
    le contact rapproché avec des personnes présentant des
    symptômes de grippe (fièvre associée à la
    toux, éternuement,…) ; et respecter les mesures
    d’hygiène lors de tous les contacts avec les animaux et
    particulièrement au moment de l’abattage ;


  • Se
    laver régulièrement les mains avec de l’eau et
    du savon ;


  • Bien
    s’alimenter, dormir suffisamment, pratiquer de l’exercice
    physique, éviter de s’exposer au froid.







C.A.:
Comment prendre en charge à la maison une personne malade ?







MINSANTE : - Lui
réserver un endroit de la maison à l’écart,
et si c’est impossible, maintenir une distance d’au moins
un mètre entre cette personne et les autres occupants ;



  • Se
    recouvrir le nez et la bouche à l’aide d’un
    masque lorsque vous prenez soin de cette personne ;


  • Se
    laver les mains à l’eau et au savon après chaque
    contact avec le malade ;


  • Aérer
    au maximum la maison, notamment la pièce où se trouve
    le patient ;


  • Nettoyer
    régulièrement la maison à l’aide de
    produits ménagers facilement disponibles.






C.A.:
Que dois-je faire si je pense avoir contracté la grippe à
A/H1N1 ?





MINSANTE :
Si vous ne vous sentez pas bien, ou présenter une fièvre,
de la toux et/ou un mal de gorge :



  • Restez
    chez vous et évitez de vous rendre sur votre lieu de travail
    ou à l’école (éviter les voyages et les
    attroupements) ;


  • Reposez-vous
    et prenez beaucoup de boissons chaudes ;


  • Prenez
    soin de bien vous couvrir le nez et la bouche de mouchoirs en papier
    lorsque vous éternuez ou toussez, et éliminez-les
    ensuite correctement ;


  • Lavez-vous
    régulièrement les mains avec de l’eau et du
    savon, surtout après avoir toussé ou éternué ;


  • Informer
    votre famille et vos amis de votre maladie.














Propos recueillis par Emmanuel Batamag














Geologist Discovers Diamond Deposits 1













Cameroon :
- Geologist Discovers Diamond Deposits




A
Korean geologist has recently discovered massive diamond deposits in
Cameroon, central Africa. The discovery draws particular attention as
the reserves in the areas of Mobilong and Limokoali are presumed to
reach 736 million carats, equivalent to five times the world's annual
total diamond production.

Kim Won-sa, 55, professor at
Chungnam University, embarked on the exploration from January last
year at the request of C&K Mining, a joint-venture firm between
Korea and Cameroon. Kim reported the exploration result to the
Cameroon government last month, which pledged full cooperation for
the project.

Kim plans to meet with Cameroonian President Paul
Biya early next month to discuss ways of promoting mines development
in the African nation. He will also focus on means to expedite
resources exchanges and cooperation between the two countries.

Kim
and the C&K Mining also held a briefing session at the
Intercontinental Hotel, Monday, with some 200 experts, officials and
businesspeople attending. Cameroon's Minister of Industry, Mines and
Technological Development Badel Ndanga Ndinga was also present along
with a group of Cameroonian officials.

The minister expressed
hope that the diamond mines development will facilitate efforts to
alleviate poverty in the African nation while promoting economic
exchange between Korea and Cameroon.

``With open arms we
welcome Korean companies investing Cameroon,'' he said. He said
Korean companies will have many business chances as the African
nation is replete with natural resources like crude oil, natural gas,
steel, uranium and wood, as well as diamonds.

The possible
advancement of Korean companies into Cameroon is also expected to
help promote the Korean government's pursuit of ``resources
diplomacy.'' The Cameroonian minister visited with Minister of
Knowledge and Economy Lee Youn-ho yesterday to discuss ways of
speeding up bilateral trade and investment relations.

Kim said
the production will begin from 2009 in full swing with the annual
exploration of 6,000,000 carats and with the effect of generating
4,000 jobs in Cameroon.

C&K plans to bring in rough
diamonds into Korea for cutting to meet domestic demands. ``We will
also be able to export diamonds and expect promotion of domestic
jewelry markets to a great extent,'' he told The Korea Times.

Kim
has engaged in brisk research and exploration activities including
his discovery of titanium deposits in Hadong, South Gyeongsang
Province in 1997. He was cited as one of the ``Outstanding Scientists
of 20th Century'' by the International Biographical Center,
Cambridge, United Kingdom, and has already been named for the 21st
Century group.










By
Emmanuel Batamag, Freelance Journalist in Yaoundé, the capital
of the Republic of Cameroon







Thursday, May 14, 2009

Communiqué de presse du Comité International de la Croix-Rouge 1



CICR-
Communiqué de presse n° 09/90



7
mai 2009







République
centrafricaine : le CICR porte assistance à 1 700 nouveaux
déplacés







Bangui
(CICR) – En République centrafricaine, le Comité
international de la Croix-Rouge (CICR) vient de distribuer de la
nourriture et d'autres biens de première nécessité
à près de 1 700 personnes ayant fui des villages de
Moudou 1, Moudou 2, Kengar et Bocayanga, situés sur l'axe
Kabo-Moyenne Sido, dans la sous-préfecture de Kabo (à
environ 375 km au nord de Bangui).







Depuis
novembre 2008, plusieurs villages, entre Kabo et Moyenne Sido, ont
été le théâtre de divers accrochages entre
les forces armées centrafricaines (FACA) et le Front
démocratique du peuple centrafricain (FDPC). Par
l'intermédiaire de sa sous-délégation à
Kaga-Bandoro, le CICR suit de près l’évolution de
la situation humanitaire, afin de protéger la vie et la
dignité des personnes qui ne participent pas ou plus aux
hostilités, et de leur porter assistance.







La
dernière offensive, mi-avril, a forcé quelque 330
familles de Bocayanga (à 15 km au nord de Kabo) et des
villages voisins à se déplacer. La plupart des
villageois, surpris par les hostilités, ont fui en laissant
tout derrière eux, n’emportant que les habits qu'ils
avaient sur eux. De plus, leurs maisons ont été brûlées
et leurs biens, y compris les denrées alimentaires, ont été
détruits ou pillés. La population, craignant de
nouveaux affrontements entre les deux parties, n’ose pas
rentrer chez elle et préfère rester dans la brousse, où
elle se sent plus en sécurité.







Le
CICR, en rappelant le mandat qui lui a été confié,
s'est entretenu avec les autorités gouvernementales et le FDPC
afin d'obtenir des garanties de sécurité pour procéder
à une distribution de biens essentiels. Celle-ci a eu lieu le
30 avril, et chaque famille a reçu divers articles ménagers
(pagnes, savons, couvertures, moustiquaires, seaux, nattes, bâches
et ustensiles de cuisine) ainsi qu'une ration de vivres suffisante
pour un mois (arachides, maïs, huile et sel).







Le
CICR rappelle à toutes les parties l’obligation qui leur
incombe, en vertu du droit international humanitaire, de respecter et
de protéger la vie et la dignité de la population
civile, des blessés et des personnes capturées dans le
cadre du conflit. Les parties au conflit sont tenues de respecter et
de protéger les biens de caractère civil ainsi que les
biens indispensables à la survie de la population, tels que
les denrées alimentaires. Les attaques contre ces biens, ainsi
que leur pillage, sont strictement interdits.











Informations
complémentaires :



Kelnor
Panglungtshang, CICR Bangui, tél. : +236 21 611 014 ou +236 75
54 72 46



Marçal
Izard, CICR Genève, tél. : +41 22 730 2458 ou +41 79
217 3224



ou
sur notre site :
www.cicr.org











ICRC
News Release No. 09/90



7
May 2009











Central
African Republic: ICRC brings aid to 1,700 newly displaced people







Bangui
(ICRC) – The International Committee of the Red Cross (ICRC)
has just completed a distribution of food and other basic necessities
to nearly 1,700 people who fled the villages of Moudou 1, Moudou 2,
Kengar and Bocayanga, in Kabo sub-prefecture between Kabo and Moyenne
Sido, approximately 375 kilometres north of Bangui.







Since
November 2008 several villages between Kabo and Moyenne Sido have
been the scene of clashes pitting government forces against the Front
démocratique du peuple centrafricain
(FDPC). Through its
sub-delegation in Kaga-Bandoro, the ICRC is closely monitoring the
humanitarian situation in order to protect the life and dignity of
people not, or no longer, taking part in hostilities, and to bring
aid to them.







The
most recent offensive, in mid-April, forced some 330 families in
Bocayanga (15 kilometres north of Kabo) and nearby villages to flee.
Most of the villagers were caught off their guard by the hostilities
and had to leave everything behind, taking with them only the
clothing they were wearing. Their houses were burnt down and their
possessions, including food, were destroyed or looted. Fearing new
clashes between the two parties, these people do not dare return
home. They prefer to remain in the bush, where they feel more secure.







The
ICRC reminded the parties of its mandate and had exchanges both with
government authorities and with the FDPC in order to obtain the
security guarantees needed to proceed with the distribution of
essential items. When the distribution took place on 30 April, each
family received clothing, soap, blankets, mosquito nets, buckets,
sleeping mats, tarpaulins, kitchen utensils and a one-month food
ration consisting of peanuts, corn, oil and salt.







The
ICRC reminds all parties of their obligation under international
humanitarian law to respect and protect the lives and dignity of
civilians, wounded people and those captured in connection with the
conflict. The parties to the conflict are required to respect and
protect civilian objects and objects indispensable to the survival of
the population, such as foodstuffs. Attacks against or pillaging of
these objects is strictly prohibited.







For
more information, please contact:



Kelnor
Panglungtshang, ICRC Bangui, tel: +236 21 611 014 or +236 75 54 72 46



Marçal
Izard, ICRC Geneva, tel: +41 22 730 24 58 or +41 79 217 32 24



or
visit our website: www.icrc.org














.........................................................................................................















CICR
– Communiqué de presse n° 09 / 92



7
mai 2009















Pakistan
: le CICR se prépare à répondre à
l’aggravation de la crise humanitaire







Islamabad
/ Genève (CICR) – Le Comité international de la
Croix-Rouge (CICR) a indiqué aujourd’hui que la crise
humanitaire s’aggravait dans la Province de la frontière
du Nord-Ouest (North-West Frontier Province – NWFP).
Selon lui, jusqu’à 500 000 Pakistanais auraient
récemment été déplacés par le
conflit dans les districts de Dir, de Buner et de Swat, bien que ces
chiffres n’aient pas pu être vérifiés à
ce jour.







«
Nous ne pouvons plus accéder aux zones les plus touchées
par les combats à cause de l’instabilité de la
situation », déclare Benno Kocher, qui dirige les
opérations du CICR dans la NWFP depuis Peshawar. « Nous
entendons cependant y retourner dès que possible pour répondre
aux besoins des populations récemment déplacées.
»







Le
CICR et le Croissant-Rouge du Pakistan mobilisent actuellement leurs
ressources pour être en mesure de distribuer des vivres et des
secours essentiels à 120 000 personnes déplacées
à l’intérieur du pays en raison des
affrontements. Le CICR espère en outre pouvoir prodiguer des
soins de santé primaires à quelque 30 000 déplacés.
L'hôpital chirurgical de 60 lits qu'il a récemment
inauguré à Peshawar lui permettra bientôt
d’accueillir simultanément jusqu’à 100
patients blessés par arme. L'institution est en outre chaque
jour en contact avec les hôpitaux de Timergarah, de Mardan et
de Swat, de façon à évaluer leurs besoins et
tenter de trouver des solutions pour y répondre.







«
Le CICR appelle les parties au conflit à respecter le droit
international humanitaire, et surtout à prendre toutes les
précautions possibles pour réduire au minimum le nombre
de victimes civiles, déclare Pascal Cuttat, chef de la
délégation du CICR à Islamabad. Les civils
déplacés par les combats ont le droit de recevoir une
assistance qui couvre leurs besoins essentiels, notamment des vivres,
de l’eau, des abris et des soins médicaux. Les
organisations humanitaires comme le CICR doivent pouvoir accéder
librement et en toute sécurité à la population
touchée. »







Depuis
septembre 2008, le CICR a progressivement intensifié ses
activités dans la NWFP et dans les zones tribales sous
administration fédérale (Federally Administered
Tribal Areas – FATA
) afin d’aider les victimes
toujours plus nombreuses du conflit armé qui oppose
actuellement l’État aux groupes d’opposition
armés. Avant que les derniers combats n’éclatent,
la semaine dernière, le CICR assistait déjà
jusqu'à 100 000 personnes déplacées dans la NWFP
et les FATA, seul ou en collaboration avec le Croissant-Rouge du
Pakistan, son principal partenaire.







Informations
complémentaires :



Sébastien
Brack, CICR Islamabad, tél. : +92 300 850 81 38



Sitara
Jabeen, CICR Islamabad, tél. : +92 300 850 56 93



Florian
Westphal, CICR Genève, tél. : +41 22 730 22 82 ou +41
79 217 32 80



ou
sur notre site : www.cicr.org






ICRC
News Release No. 09/92



7
May 2009















Pakistan:
ICRC priming itself to address escalating humanitarian crisis







Islamabad/Geneva
(ICRC) – The humanitarian crisis in the North-West Frontier
Province (NWFP) is intensifying, the International Committee of the
Red Cross (ICRC) warned today. The ICRC said that although figures
remain unverifiable at this stage, reports indicated that up to
500,000 Pakistanis have been recently displaced by conflict in Dir,
Buner and Swat.







"We
can no longer reach the areas most affected by the fighting on
account of the volatile situation," said Benno Kocher, who is
running the ICRC's operations in NWFP out of Peshawar. "But we
are aiming to return and meet the needs of the newly displaced
population as soon as possible."







The
ICRC and the Pakistan Red Crescent Society are currently marshaling
their resources to be able to provide 120,000 internally displaced
people (IDPs) affected by the fighting with food and essential relief
items. The ICRC also hopes to be able to provide basic heath care for
about 30,000 displaced people. Its recently inaugurated 60-bed
surgical hospital in Peshawar is scaling up its capacity to be able
to receive up to 100 weapon-wounded patients at a time. The
organization has also been in daily contact with hospitals in
Timmergarah, Mardan and Swat to find out about their needs and
discuss possible ways of providing support.







"The
ICRC calls upon the parties to the conflict to comply with
international humanitarian law – in particular, to take all
feasible precautions to minimize civilian casualties," said the
ICRC's head of delegation in Islamabad, Pascal Cuttat. "Civilians
displaced by the fighting have a right to receive assistance to cover
their basic needs, such as food, water, shelter and medical care.
Humanitarian organizations like the ICRC must be given safe and
unimpeded access to the affected population."







The
ICRC has been gradually stepping up its activities in Pakistan's NWFP
and Federally Administered Tribal Areas (FATA) since September 2008
to help the growing number of victims of the armed conflict under way
between the State and armed opposition groups. Before the most recent
fighting broke out last week, the ICRC was already assisting up to
100,000 displaced people in NWFP and FATA, both independently and
together with the Pakistan Red Crescent Society, its primary partner.















For
more information, please contact:



Sébastien
Brack, ICRC Islamabad, Tel. +92 300 850 81 38



Sitara
Jabeen, ICRC Islamabad, Tel. +92 300 850 56
93



Florian
Westphal, ICRC Geneva, tel: +41 22 730 22 82 or +41 79 217 32 80



or
visit our website: www.icrc.org






Tamiflu

Roche AG hat der WHO World Health Organization 5,6 Millionen Pakete von Tamiflu übergeben.

Es sind 2500 Fälle von H1N1 in Mexico, 3000 in den USA sowie in 33 Ländern gemeldet.

Sunday, May 10, 2009

Journal de Reportage sur le net






























Journal de Reportage sur le net.
Informations instantanées dans le monde entier.



Aut.N°342BDD/C19/BAPP/94 Tél.
237-77.97.63.80/97.03.02.83/75.40.38.31



E-mail:emmanuel.batamag@gmail.com
/ derogebebe@yahoo.fr Site Web : www.cameractu.net








LES PETROLIERS EN GREVE AU
BURKINA FASO






Le licenciement de
Yacouba Ouédraogo, porte-parole des délégués
du personnel de Total Burkina a jeté le pétrole sur le
feu qui couvait déjà entre la société
pétrolière française et ses employés
burkinabè. En réaction, ces derniers ont depuis le 24
avril, cessé toute activité criant à un
« licenciement abusif et discriminatoire ». Par
solidarité et par mesure de sécurité, l’ensemble
des gérants de stations-service Total du pays ont, eux aussi,
cessé le travail.



Tout est parti d’un
sit-in de 5 heures que les travailleurs ont observé le 27
mars, suite à la non-satisfaction de leur plate-forme
revendicative, introduite auprès de leur direction, il y a un
an. De l’avis des grévistes, le sit-in
« d’avertissement » a déclenché
l’ire de la direction de Total Burkina qui a décidé
de sévir. Dans le viseur de la direction, Yacouba Ouédraogo,
l’un des six délégués. Il aurait, selon
ses propos, reçu le 23 avril sa lettre de licenciement, des
mains de Stanislas Mittelman, le Président du Conseil
d’Administration de Total Burkina, accouru à Ouagadougou
deux jours plus tôt pour désamorcer la crise naissante.



La fin du silence
total



Rompant le silence
depuis début de la crise, le directeur général
par intérim de Total Burkina, Thibault Flichy, a au cours
d’une conférence de presse mercredi 29 avril, qualifié
la grève d’illégale et a de ce fait considéré
les grévistes comme ayant abandonné leurs postes.
Réagissant au licenciement du porte-parole des délégués
des travailleurs, il est, de l’avis de M. Flichy
« conforme à la loi et à l’avis de
l’inspection du travail ». Et son annulation
réclamée par les travailleurs, semble improbable. En
effet, M. Flichy prête au syndicaliste « des
propos totalement diffamatoires et mensongers à l’égard
de la société dans la presse, dégradant
fortement, très fortement notre image ».



A l’occasion
de cette sortie médiatique, le directeur général
par intérim de Total Burkina a brandi à l’opinion
les « engagements forts » de son groupe à
l’endroit de ses travailleurs : l’augmentation des
salaires de base (salaires catégoriels et sursalaires) de 16%
en moyenne entre le 1er octobre 2008 et janvier 2009, la dotation
mensuelle d’une bouteille de gaz à chaque employé
et le maintien de la prime de résultat dite de 14e mois. Il a,
en outre, annoncé que la direction générale
serait prête à mener une étude comparative des
salaires en vigueur dans d’autres sociétés
comparables de la place et à ajuster si nécessaire les
écarts éventuels constatés. Et suivant une
grille salariale, il sera mis en place un recueil dit de "disposition
ressources humaines" avant le 30 juin 2009, en conformité
avec les normes du groupe Total en la matière.



Concernant
spécifiquement le paiement d’une prime exceptionnelle de
3 mois de salaire, au titre des résultats 2008 du Groupe Total
au niveau mondial des primes, il a été rejeté
par la direction de Total Burkina. Aucune directive, affirme
M.Flichy, n’a été donnée dans ce sens ni
au niveau du siège ni au niveau des filiales sous-régionales.



Un dialogue de
sourds qui pénalise les consommateurs



Obligés de
parcourir de longues distances et contraints à d’ennuyeuses
files d’attentes pour se procurer le précieux liquide,
les consommateurs subissent les conséquences de la grève.
Les autres stations-service du pays tentent difficilement de pallier
le vide 40% de part du marché de la distribution des
hydrocarbures au Burkina laissés par Total. Déjà
confronté à un front social agité, le
gouvernement burkinabè suit la crise de près. Dans un
communiqué publié le 27 avril, il a « encouragé
l’esprit de dialogue et de recherche de solutions afin d’éviter
que les consommateurs soient les otages d’une telle
situation. »



Pour l’heure,
cet appel n’a pas été entendu. Deux tentatives de
conciliation menées par la direction générale du
travail ont toutes échoué. Chaque partie campe sur sa
position. Avant toute négociation, les grévistes,
fortement soutenus par les autres syndicats, exigent la réintégration
de leur camarade licencié. La direction de Total ne semble pas
y prêter une oreille attentive et appelle plutôt à
une reprise immédiate du travail. En un demi-siècle de
présence au Burkina, Total traverse là sa plus grave
crise. De sa résolution diligente dépendent peut-être
son action et son image dans les autres pays africains. La grogne des
travailleurs burkinabè pourrait faire tache (de pétrole)
ailleurs.



Emmanuel
Batamag























Thursday, May 07, 2009

Brief News











L’AFRIQUE
SOUTIENT LA CANDIDATURE DES EMIRATS ARABES UNIES A ABRITER LE SIEGE
DE L’IRENA

Addis
Abéba 4 mai 2009 -

M. Jean Ping Président de la Commission de l’Union
Africaine, a reçu, samedi 1er mai 2009, au siège de
l’Union Africaine à Addis Abéba, Ethiopie, une
délégation des Emirats Arabes Unies conduite par le
ministre des affaires étrangère, Son Altesse Sheikh
Abdellah Ben Zaid Al Nyan, venu solliciter le soutien des Etats
membres de l’Union Africaine pour la candidature de son pays à
abriter le siège de l’Agence Internationale pour
l’Energie Renouvelable (IRENA)






HE
Sheikh Abdellah Ben Zaid Al Nhyan, Minister of Foreign Affairs of UAE
visiting the AU Commission

01
MAY 2009


Africa
Supports United Arab Emirates’ Candidature to Host the Seat of
IARE

Addis
Ababa 4 May 2009 –

Mr. Jean Ping, Chairperson of the African Union Commission on
Saturday 1st May 2009, received in audience a delegation of the
United Arab Emirates, led by the Minister of Foreign Affairs, His
Royal Highness, Sheikh Abdellah Ben Zaid Al Nyan, who came to seek
the support of the African Union Member States with respect to the
candidature of his country to host the Seat of the International
Agency for Renewable Energy (IARE)





………………………………………………………………………………………………………….



The
Chairperson of the Commission of the African Union (AU), Mr. Jean
Ping, continues to follow closely the developments in Madagascar in
the light of the position of the AU as expressed by the Peace and
Security Council (PSC) at its 181st meeting, held in Addis Ababa on
20 March 2009.




……………………………………………………………………………………………………………………………………


AU
COMMISSION CALLS ON AU MEMBER STATES TO BE ALERT TO POSSIBLE SWINE
INFLUENZA EMERGENCY IN AFRICA

Addis
Ababa, 30 April 2009
-
Recent incidences of the Swine influenza have caused alarm throughout
the world. As of 29th April, the Director General of the World Health
Organisation (WHO) issued a statement that Swine Influenza
constitutes a public health emergency of international concern. In
this regard, WHO has raised the alert from phase 4 to phase 5which
means that the disease can no longer be contained and concerns have
been expressed that it can become a global pandemic. Apart from
Mexico where it originated from, cases of the swine influenza have
been detected in Canada, New Zealand, United Kingdom, Spain,
Switzerland and Israel


…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….


DE
NOUVEAUX BUREAUX POUR LE DEPARTEMENT DE PAIX ET SECURITE
Addis
Abéba, le 29 avril 2009 - Une importante délégation
allemande composée d’ambassadeurs accrédités
dans différentes régions d’Afrique et conduite
par M. Peter Ammon, Secrétaire d’Etat en charge des
affaires étrangères, a procédé hier, au
siège de l’Union africaine à Addis Abéba,
Ethiopie, à la présentation de la maquette du bâtiment
que la coopération germanique (GTZ) offre au Département
de paix et de sécurité de l’Union africaine.

BUILDING PEACE AND SECURITY
The German
government has agreed to finance the construction of the new building
for the Peace and Security Department of the African Union (AU)
estimated to cost about 20 Million Euro. The new building will be
centrally located on the grounds of the AU in Addis Ababa, adjacent
to the AU’s new Conference Center.








INVITATION
FOR JOURNALISTS

The
African Union (AU) and the Embassy of the Federal Republic of Germany
invite journalists to attend the opening of the exhibition of
architectural designs for the new building for the Peace and Security
Department of the African Union. The German government has agreed to
cover the costs of about 20 Million Euro for the construction of the
new building.


……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….










AFRICAN
UNION COMMISSION CALLS ON AFRICAN UNION MEMBER STATES TO BE ALERT
TO POSSIBLE SWINE INFLUENZA EMERGENCY IN AFRICA

Addis
Ababa, 30 April 2009 -

Recent incidences of the Swine influenza have caused alarm throughout
the world. As of 29th April, the Director General of the World Health
Organisation (WHO) issued a statement that Swine Influenza
constitutes a public health emergency of international concern. In
this regard, WHO has raised the alert from phase 4 to phase 5which
means that the disease can no longer be contained and concerns have
been expressed that it can become a global pandemic. Apart from
Mexico where it originated from, cases of the swine influenza have
been detected in Canada, New Zealand, United Kingdom, Spain,
Switzerland and Israel


……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….


African
Experts of Integration Meet in Yaoundé to Discuss Regional and
Continental Integration.

Yaoundé
4 May2009 –
African
Experts in the domain of integration, started brainstorming on Monday
4 May 2009, at the Yaoundé Conference Center, Cameroon, ahead
of the 4th Session of the African Union Conference of Ministers in
charge of Integration (COMAI IV), under the theme: “Partnership
on Integration in Africa”. Participants at the Experts
preparatory meeting include: Representatives of the Economic
Commission for Africa (ECA), African Development Bank (AfDB),
European Union (EU) and the International Labour Organisation (ILO).
The Experts are drawn from AU Member States.


…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….


LUTTE
CONTRE LA MORTALITE MATERNELLE ET INFANTILE : L’UA
S’ENGAGE

Addis
Abeba, le 30 avril 2009 -

Les ministres de la santé de l’Union africaine (UA) se
réuniront en conférence du 04 au 08 mai 2009 au siège
de l’Union à Addis Abéba, Ethiopie, autour du
thème «Accès universel aux services de santé
essentiels et de qualité : Améliorer la santé de
la mère, du nouveau né et de l’enfant ».


COMBAT
MATERNAL AND INFANT MORTALITY: AU UNDERTAKES
  Addis Ababa,
30 April 2009 - Ministers of Health of the African Union (AU)
conference will meet from 04 to 08 May 2009 at Union Headquarters in
Addis Ababa, Ethiopia, around the theme "Universal Access to
essential health services and quality: Improving the health of
mothers, newborn and child ".


………………………………………………………………………………………………………………………………………………………










Emmanuel
Batamag